En amont de la reprise, managers et chefs d’ateliers ont pris soin d’appeler les salariés un par un pour identifier les personnes pouvant reprendre l’activité. « J’ai été prévenu la semaine précédente par Sophie Rol, ma chef d’atelier, qui m’a demandé si je pouvais revenir. Elle m’a questionné par rapport à mes obligations familiales liées au COVID19. J’étais disponible et prêt à reprendre. » souligne Jérôme Coumailleau, avant de poursuivre « La maison, c’est bien mais j’avais envie de retourner au travail. J’appelais le numéro vert mis en place par ARQUUS tous les jours pour connaître les dernières infos sur la reprise potentielle ».
« J’étais un peu inquiet au début mais une fois arrivé sur le site tout allait mieux » Jérôme Coumailleau
Egalement aucune hésitation chez Jordan Horel : « Toutes les mesures de sécurités m’ont été expliquées par téléphone avant la reprise, cela m’a rassuré, je n’ai donc pas hésité avant de revenir travailler ».
Le strict respect des recommandations sanitaires contre le COVD 19 mises en place sur les sites de production a rapidement rassuré et remplacé l’inquiétude légitime sur les conditions de reprise chez les employés.
Afin de respecter au maximum les nouvelles consignes de sécurité, tous les salariés ne sont pas revenus en même temps sur les sites. « Mardi, nous avons accueilli une dizaine de salariés. Pour le moment, juste la partie EBMR a repris avec le service logistique, certains caristes sont également présents pour servir les pièces sur la ligne de production. »